Miyuki

Beethoven joua de plus belle, mais Lucius aillant perdu sont sourir, s'arreta et parti. Beethoven s'arreta a sont tour et viens posé sa main sur l'epaule de la nouvelle venu

" Desolé, bien qu'il est voulu jouer, son coeur n'y est pas, il a de grave probleme..."

Beethoven regarda la petite et eu un sourir particulier, un sourire que seul lui arriver a produire et que l'on ne pouvait que definir par le mot mystere. Puis il recula s'en allant lui aussi dans la rue

"Si sa te dit, tu pourra nous trouver pres du temple plus tard..."

Un peu déçue par la suite des évènements a la fin de la prononciation des mots "graves problemes" Miyuki le regarda en penshant sa tête de côté, comme si elle ne comprenait pas le sens de ses mots...
* Les humains ont des sentiments si mêlés...*

Puis elle eut le tournit et tomba a genous, se mettant les mains sur les oreilles comme si elle entendait un bruit insonore.

Beethoven revint et s'excusa aupres des personne allentour : il était aller voir l'état de Lucius. A ce moment precis, il vit Miyuki a terre entrain de se boucher les oreilles. Affolé, Beethoven lanca des regard plein de question au personne alentour. Aucune reponse... Beethoven s'accroupi a coté de la jeune fille et lui pris les mains et lui murmura quelque chose a l'oreille... Murmuré? Beethoven etait muet... personne n'y preta attention sur l'instant. Miyuki entendi ceci "Laisse moi faire... je sent un son dans ta tete... laisse l'empereur de ceci s'en charger"

A l'etonnement de tous, Beethoven deposa un baiser sur le front de la petite, celle ci sembla se decrisper, par telepathie, Beethoven expliqua

"J'ai arreté le bruit pour quelque minutes, explique nous maintenant ton probleme je te pris..."

Beethoven lacha presque a contre coeur les douce mains de la jeune fille mais garder un air serieux en attendant une reponse.

*Impossible...* Se dit alors l'hybride, et alors qu'elle aller questionner Beethoven sur son étrange intervention, elle compris que tout le monde l'examiner pour determiner l'origine de son mal.
-Désolé de vous avoir fait peur...Si c'est le cas...Disons que certains phénomènes sont contre mes décisions...

Elle se releva et eue presque un sursaut lorsqu'elle se rendit conte que les cris avait cesser.
On vit alors comme une ombre autour de sa tête.

"Quel etrange phenomene..."

Beethoven ne voyais pas se que cela pouvait etre, une magie obscure sans doute... Il sera sa pierre de feu, se disant que lui aussi la magie obscure l'entraver... voyant que du sang commencer a pigmenté ca chemis, Beethoven remis sa veste sans un mot

"Miyuki, dites nous quel sortilege vous étreint..."

Ayant remarqué le sang sur la chemise de Sebastian, Miyuki préféra se taire, voyant qu'il chercher a s'esquiver.L'ombre devenait de plus en plus noir et de plus en plus dense et comme une musique résonnait, masi cette fois-ci, seul quelques personnes pouvait s'en rendre conte.

-Nous n'allons pas créer de catastrophe maintenant tout de même...

Dès que ses paroles furent achevées, l'ombre disparue emportant ainsi la musique et la neige froide et glacée.L'hybride se retourna alors en souriant vers le musicien.

-Quel mal?

Dit-elle comme si de rien n'était.

Le musicien ne souricer pas, sont coeur batter trop fort a cause de la douleur. Il esquissa un sourire .

"Aucun mal... j'ai du... avoir une allucination"

Beethoven leva la tete et regarda le ciel, le frais sur son visage le soulager de la chaleur interieur. Il regarda ensuite la jeune femme. Beethoven semblait faiblir a vu d'oeil, se fatiguer, des cernes aparecent sous ces yeux.

"Et bien, d'apres se que je vois, et les objectif qui sont les votre, je peu affirmé que vous aller pouvoir, si vous le souhaité, rester ici quelque temps."


Miyuki cligna des yeux et etrangement, Beethoven etait reevenu plein de force, ces cernes avait disparu.

Miyuki eue l'air de se réjouir, elle fit alors volte-face pour salué l'ensemble de ses rencontres, puis s'en alla en direction de l'intérieur de la cité.

-Merci à tous.

Elle se mit a sautillé au strict opposé de ceux-ci.

Une légère brise glissa dans la cité, accompagnée d'une odeur bien particulière et de paisibles paroles.

Bienvenue en ce lieu ! Vous y serez acceuillie comme une soeur ! Chacun de vos pas, sera le pas de chacun ! Chacune de vos paroles seront le reflets des mots de chacun ! Si votre désir est tel, vous ne formerez plus qu'un avec cette cité ! Bientôt, bientôt, je serai de retour !

Ces derniers mots étaient passés comme un doux souffle dans le creu de l'oreille pour se perdre dans les ruelles éternelles !

Elle s'arrêta net pour écouter la voix dans ses oreilles, agréablement surprise que sa venue ne pose pas plus de problèmes que ça.

-Merci, merci, et, c'est avec un honorable plaisir que je demanderai a faire partit de cette cité...Elle est si, merveilleuse, et je ne doute pas que les occupants soient de nature particulièrement sympatiques.

Elle pencha la tête sur le côté et sourit amicalement tout le monde.