Le vent cessa de souffler, les oiseaux ne chantèrent plus, plus aucun insectes ne survolait ce lieu. Un nuage noir se forma et de ce dernier un homme en sorti, comme à chaque fois de sa venue, son visage ne se laissait voir.
_Pourquoi tant de haine ? Je ne crois pas que ce soit le lieu pour de telles pratiques.
Se tournant vers Dante.
_Rechercherais-tu la mort pour l'appeler de la sorte ? Je connais chaque personne présente, plus ou moins certe, mais suffisement pour savoir que leur actes enclains de violence ne leur ressemble pas.
Le calme de sa voix laissait croire que l'homme ne se rendait pas compte de se qui se passait.
_Le sang par le passé à trop coulé en ce lieu, quelques litres de plus ne changeraient rien, mais il ne nous en faut plus. Si tu veux mourir, fais le moi savoir hors de ce lieu, je règlerais le problème, mais je ne crois pas que la mort soit ton désir, peut être l'envi de pouvoir ressentir la souffrance de ton corps. Le soucis avec la mort, c'est que ce n'est plus le corps qui souffre, mais notre âme ou du moins notre esprit qui est tourmenter.
Sans avoir rien dit, Naur se retira.
_Pour ce qui est de Naur, il aurait pu te broyer sans que rien ne le retienne, ton dont de traverser les matériaux et les corps, s'il l'avait voulu, t'aurais été inutile.
Regardant chacun des intervenants.
_J'ai privé de nombreux être de leur vie, j'avoue en avoir perdu le compte, mais chaque vie volé me hante chaque jour qui passe et ce sera ainsi jusqu'à la fin de ma triste vie. Je ne vous souhaite pas d'être hanté à ce point. J'aimerai ne pas avoir d'âme, au moins je ne souffrirai pas.
Se retournant de nouveau vers Dante.
_Je crains que tu n'ai lu nos lois ! Evidemment, traverser la porte ne t'as pas fait assimiler les lois qui y sont gravés. Tu aurais du t'attarder plus longuement, tu aurais je le pense compris de nombreuses choses sur cet endroit et ceux qui y vivent. Tu as su manipuler les personnes présentes, même Naur. Mais saches qu'ici s'arrête ton exode, de moi tu ne tirera rien que je n'ai pu souhaiter. Si de mes mains, je doit te retirer cette vie qui semble ne pas t'intéresser plus que ça, se sera moi et seulement moi qui l'aurait désirer.
Le ton s'était légèrement relevé.
_Tu peux contraindre une personne de lever son épée contre son gré, mais cela est bien fini, tu peu me croire, je n'ai qu'un geste à faire et tu ne seras plus qu'un bref souvenir. Les Lois, penses aux Lois !