Rassemblement pour réunion exceptionnel

Le ciel était sombre lorsque Paolas entra dans la salle du conseil.

La salle était déserte, froide, tous se qui se trouvait droit, propre et brillant auparavant ne ressemblait plus à rien. Tout était noircis par la poussière, certains meubles autrefois splendides ne ressemblaient plus à rien.

Le Vanyar regarda la salle un instant, puis il se dirigea ver la grande table, couverte de feuille morte. Il l’épousseta un peu, prit plusieurs parchemins, mais ne trouva rien pour écrire. Alors il chercha sur cette table et dans les meubles, une plume et de l’encre, pour écrire.

Il trouva une vielle plume d’oie ainsi qu’un petit pot d’encre au fond de la salle, à même le sol. Il retourna donc sur sa chaise et se mit à rédiger quelques mots sur un parchemin.

Cela n’était pas très long mais Paolas recopia ces mêmes mots sur plusieurs manuscrits.

Citation :: « Cher amis, frère d’armes, Vanyar, Téléri, Noldor, créateurs et tous les ancien membres de la cité, je requières votre présence dans les plus bref délais.

Comme vous le savez Valinor va très mal, la cité est en ruine (et encore on ne peut plus parler de cité). Les anciens membres influants, importants et aimés se sont déchirés.

Il est peut-être un peux tard mais je pense que si tous le monde y met un peux du sien, nous pourrons, et je dis bien « NOUS », reconstruire Valinor.

Certes cela prendra du temps et de l’énergie mais ensemble tous est possible.

Je vous attends dans la salle du conseil, à la table où tant de chose ont été décidées.
Je serai là tous les jours à accueillir toutes le personne qui sera prête à faire renaitre VALINOR »

Paolas, chevalier Vanyar et membre de Valinor

Une fois tous les parchemins en sa possession griffonnés, il siffla à trois reprises et un grand oiseau gris et blanc se posa sur son épaule. Paolas enroula alors presque tous les parchemins sur une des pâtes de l’oiseau. Quand il eut fini, le volatile prit son envol et disparut par une fenêtre cassé.

Quand à Paolas, il déposa ses affaires dans un coin de la salle, près de l’ancienne cheminée, puis il sortit de la salle avec quelque clous, un marteau et 5 ou 6 parchemin sous le bras.

Il savait bien que tout l’ancien membre ne pouvais être contactés par son oiseau, il se dit donc que, peut-être certains viendraient comme lui à Valinor dans quelque temps.

Paolas revient quelque temps après, juste au moment où le soleil disparaissait à l’horizon. Il alluma la cheminée et se coucha dans son lit de fortune.

Une fois reçu la missive Arthurius alla voir Paolas pour cette "réunion". Pour ce qu'il savait il n'y avais plus que quatre Eldars dans la citée: Paolas, Mélanos, Vepo et lui même. C'était mince comparer aux effectifs d'autrefois mais c'était déjà mieux que rien.
Une fois arriver a destination Arthurius vit Paolas coucher dans son lit.

_Ainsi tu me demandes et quand j'arrive tu dors ! s'exclama le Téléri avant d'éclater de rire.

Le Tyréen avait vu les affiches un peu partout dans la cité... Ainsi donc, sans trop savoir pourquoi, il se dirigea vers la salle du Conseil pour y voir discrètement "le dormeur du val" auprès duquel l'espiègle Teleri venait de se positionner.

- J'ignore pourquoi je suis là dit-il, en éclatant de rire lorsque Paolas se releva d'un bond en proie à une frayeur peu commune... mais le spectacle en valait la peine...

Puis, s'approchant du chevalier mal luné l'espace d'un instant, il lui dit :

- J'ignore qui je suis... Celui-ci me nomme Mélanos... et un créateur en fait de même : sans doute ont-il raison quoi que la chose ne me rappelle rien... Mais toi, qui es-tu et que veux-tu de nous? N'as-tu point entendu qu'un royaume est en grand danger et que nous courrons à son secours? Veux-tu combattre la poussière ou les oppressants d'un peuple qui, semblerait-il, est celui de mon bien aimé Fils Doudougaël d'Arcan? Prendras-tu les armes... ou le balais? Car si c'est le balais, la chose ne m'intéresse guère : on ne délivre pas un royaume avec un manche et des branchettes mais bien avec du courage et une épée...!

Et afin de se manister, Vepo insufla dans la pièce un apport d'air dans l'atre incandescente, ce qui eut pour effet d'enbrasser le foyer encore chaud, offrant des lors certe de la chaleur mais surtout de la lumière, symbole d'un passe glorieux.

Le spartiate dormait tranquillement, lorsqu’une voie se fit entendre dans la salle du conseil.
En sursaut Paolas ouvris les yeux, et vie Arthurius debout devant lui. Son ami arboré un grand sourire, mais semblai quelque peux fatiguer.

Puis se fut au tour de Mélanos et de Vepo d’entré dans la salle.
Vepo ne se montra pas, mais fit ressentir sa présence, quand a Mélanos, la question qu’il posa a Paolas le surpris un peux.

-Mon ami tu ne me reconnais pas, mais je suis un des derniers Vanyar encore présent. Mon nom est Paolas, je suis un spartiate et le tavernier de la cité.
Je fus un des nombreux guerriers de Valinor, comme toi, mais maintenant je cherche la reconstruction de la cité.
J’ai bien entendu parlé des problèmes a l’extérieur de la cité, mais je ne savais pas que certains d’entre vous se préparaient à la guerre.
Bien entendu je suis une personne qui préfère prendre les armes, plutôt que le balais. Je serai avec vous pour se combat.
Cependant je pense que nous devrions parler en ces lieux de la reconstruction de notre belle cité, enfin, après les combats.

Puis Paolas pris la bassine d’eau qui était a la fenêtre, il remplit sa gourde avec, et se jeta le reste au visage. Il prit ensuite ses armes et son manteau et dit :

- Allons-y, je vous suis.

Le démon entra a son tour, quand tous semblais près a partir en guerre.
Tous étais en armure épée a la main et d'autre rangé dans leurs fourreaux.
Fleaux barrais la sortie de la pièce et dit en s'exclament :

-Bonjours a tous !!!
-Ou partez vous comme sa, armer jusqu'au dents ?

L'aura du démon billais d'une douce lumière et son attitude étais bien déterminé.
Puis il prit un temps soit peut de réflexion et ajouta :

-Vous irez nul part sans moi.
-Les épées, les boucliers, très peut pour moi.
-Mais de la magie c'est toujours utile aussi ...

Fleaux étais tout en joie de voir ce beau monde de réunie.

» nouveau départ pour le démon.