Le bruit de nul part

Lors d'une chaude apres midi, le bruit soudain d'un piano retenti, jouant une symphonie particulierement belle, se sont prevenait d'en dehors de la cité. Un homme, a l'ombre d'un arbre, jouer d'un piano blanc, il été grand et mince, il avait les cheuveux noir, mi-long.

Les commercant qui traversser la porte s'arreter, quelque garde l'avait remarquer et l'écouté d'une oreille mais rester tout de meme a la garde.

La symphonie fut terminer, les commercant reprire leur voyage sans un mot, l'homme se leva, il portait un costume de scene, il se dirigea vers la porte, les garde le regarderent avancé, s'elloigner de sont piano qui avait disparu, detail qui étonna certain. d'un mouvement de poignet il frappa a la porte de le citée et attendit dansun silence de mort que l'on lui reponde.

Sans arme, le musicien errait a la recherche d'une ville sur ou il pourrait travailler. Il été encore jeune, 23 ans au plus, il avait un regard plein de malice.

Il n'avait nul part ou aller et il n'aller nul part, il chercher une ville ou sont talent pourrait etre reconnu.

[HRP: C'est Lucius HRP]

etrangement se fut une voix metalique qui resonna dans la tete de Félina, l'homem n'ouvrait pas la bouche mais fesait tout les geste qui aurait par abitude acompagner une presentation

"Bonjour. Mon nom est Sébastien Beethoven, je suis musicien itinairant. oh! excuser moi pour cette voix... je suis muer j'ai du contracter des don de télépathie, excuser moi si cela vous est désagréable... Je cherche une ville pouvant reconnaitre mes composition musical, un grand nombre ne m'on meme pas laisser joué... il avait peur de ma facon de parler... je n'ai nul part ou aller et personne a rejoindre, j'ai entendu dire que cette cité possédé quelque virtuose..."

Beethoven s'arreta de bouger, il perdit sont sourir et dit

"J'espere que cela ne vous derangera pas, si vous ne m'accépté point je resterai pres d'ici mon piano au service des oreilles de vos gardes"

Beethoven se courba en signe de salut.

Une hombre imposante et un pas lourd se dirigeait en direction de l'entrée.

L'inconnu dont pas un bruit ne sortait de la bouche, avait par contre l'oreille fine.

- Hummm, c'est un colosse que voila ! fit sa voix métalique

- En effet répondit Dougi arrivant en pleine lumière, et c'est d'ailleur un de mes surnom.

Le roi d'Arcan plissa legèrement les yeux, sondant le regard de celui qui se faisait appeler Beethoven.

- Tu as la bonté dans les yeux virtuose du clavier et j'aime cela. Tu semble avoir souffert et peut être-ce du a ta différence mais saches qu'ici, nous sommes tous égaux.
j'aime la musique et beaucoup d'autres l'apprécie comme moi. N'aies crainte et entres te reposer, nos murs sont surs et tu y sera a l'abris.


Dougi faisait signe a l'inconnu d'entrer dans la cité....

Sébastien addressa un immence sourir au colosse

"Je vous remerci, mais puis-je vous demander votre nom?"

Sébastien était entré tandis qu'il lui posé cette question il tandis une main au colosse qui la serré sans trop de force pour ne pas lui broyer.

"J'espere ne pas vous deranger pour m'a venus..."

- je manque en effet a tout mes devoir Sébastien. Je suis Doudougael, roi d'Arcan, un royaume lointain. Ici, je suis un Téleri et membre du conseil mais cesse de me vouvoyer s'il te plait car ici nul n'est supérieur a un autre.

Sache que je m'occupe du restaurant de la taverne et s'il est un plat qui te faiut envie par dessus tout, fait le moi savoir que je puisse te faire plaisir.

Ta venue de me dérange aucunement, sache le. Valinor est une cité de paix, une terre d'asile en quelques sorte.

Les deux hommes parcouraient les ruelles de la cité tout en discutant ....

"Un roi? c'est un honneur, meme si vous etes loin de votre royaume, je cherche du travail, je suis pianiste et organiste, si votre restaurant a besoin d'une quelconque distraction se serait un plaisir...ho, excuse moi, tu m'avez demander d'areté de te vouvoyer..."

Beethoven se retourna ensuite vers la jeune neko

"hum... a qui est-je l'honneur?"

Arthurius vit Dougi et Félina marcher en ville accompagner d'un étranger. Alors Arthurius alla les saluer et se présenta a l'étranger:

_Salut à toi étranger, mon nom est Arthurius, je suis chevalier Téléri et garde de Valinor. Bienvenue en la citée de Lumière !

La voix metalique de Beethoven resonna dans la tete d'Arthurius

"Salutation, merci de bien vouloir m'acceuillire en un lieu si magnifique, j'espere ne deranger personne..."

De nouveau, on entendit un pas lourd, le sol en frémissait. J'arrivais enfin en vu de chacun.

Bienvenu à toi virtuose de ces lieux. Je me prénomme Elric, je fais, comme Arthurius et Félina, parti de la garde.

Je me mis de côté pour laisser passer la personne que je me devais de protéger.

Je laisse place à qui de droit.

Celui qui apparut releva sa capuche.

_Enchanté de vous connaitre, Je suis Flinn, Fain Flinn, je suis heureux de faire ta connaisance. En ces murs, tu sera le bienvenu tant que ta musique sera douce à nos oreilles.

Flinn eu un légé sourire.

_Que nous vaut ta visite ?

"Je ne souhaite que jeté sur le monde un regard sans haine et répendre mes melodie partout puisque ce sont les seul bruit que je peut produire"

Beethoven avait salué flinn d'un signe de tete respectueux.

"Faire plaisir est mon plaisir c'est un de mes précepte."

Beethoven accompagné de certain membres eldar, eu soudain un parfum qui accaparait sont attention. Une douce odeur de rose valsait sous le nez de celui ci. Il pouvait sentir au même moment une présence qui lui caressais le visage... mais il ne pouvait l'apercevoir de ces yeux.

Il pu sentir une essence apaisante qui semblais bercé le cœur de celui ci. Saisi sur le moment, il recula d'un pas léger, puis au même moment un craquement se fit entendre. L'homme dévia sont regard au sol et aperçu une rose sur le parterre.

La rose été blanche, il la ramassa et la porta a son nez, cette douce odeur il l'aimait vraiment. Il chercher du regard le donneur, sans resultat mais le remercia fort, en penser...

"Cette cité et vraiment merveilleuse... elle m'inspire a crée..."

Beethoven regarda la rose avec contemplation et la placa dans la poche de viste de sont costume, cette fleur se marier parfaitement avec le reste. Beethoven sorti une montre a gousset de sa poche et regarda l'heure puis rangea sa montre dans sa poche.

"Il est bientot l'heure de mon entrainement du soir, si vous le souhaité vous pouvais ecouté..."

"Oui, chaque matin et chaque soir, en dehors des concerts, je m'entraine ."

Beethoven s'approcha d'un arbre, se mit dans son ombre et toucha sont ecorce d'un doigt, un piano blanc apparu doucement, de nul part. Sébastien s'assit devant et declara le claire de lune.

Une douce et triste musique envahi la cité, le "claire de lune" etait en verité la Moonlight sonata, une de ces composition.



Lorsqu'elle fut fini, Beethoven souffla longuement puis declara que cette fois si "La lettre a Elise"

Une musique rapide et belle s'en echapa entre couper de passage plus gai et rapide.



[HRP : si je le peut, je vous mettrais toujour les vidéo des musique que je joue, pour le bonheur des oreille. HRP]

Au loin , ont pouvait apercevoir une délicate silhouette s'approcher, Aracelis arriva quand le charment musicien se mit à jouer son premier morceau, elle étais ébloui par cette musique si douce et rempli d'effervescence, cette symphonie voulais tellement dire de chose pour elle, tout les sentiments que l'ont pouvait ressentir fessait surface en elle.

Rien que le son de cet instrument prodigieux, lui donnait des frisons, Or, à se moment , le meilleurs pianiste qu'elle est pu entendre jusqu'à présent étais sans aucun doute cette homme.

La jeune souveraine se laissa emporté part cette agréable mélodie puis fermait ces yeux et dansais doucement sous le clair de Lune.


Soudain, les mains de celle ci semblais éclore un parcelle lumineuse, cette douce lueur blanchâtre sortie et s'éleva au dessus de leurs tête et une pluies de pétale de rose valsais à présent au dessus de Valinor.

Elle tournoyais doucement, les bras légèrement levé laissant les pétales caresser sont visage. Elle semblais libre comme l'air légère t-elle une plume. Elle dirigea sont regard vers ses compagnons puis leurs fit un doux sourire..Elle prit Félina délicatement et l'emportais valsé sur le sol tapissé de pétale de fleurs.

Le sourire au lèvre elle semblais être transporté par cette poésie.

Beethoven jouais les yeux fermés, sans sourir, lorsque selui ci apparu, les touches de son piano se mir a luire d'une douce lumiere blanche, son sourir plein de malice aller de pair avec un regard insoutenable, sans haine. Il regarder ces femmes, souriant a sa mélodie, comme l'on aurait regarder le plus beau des couché de soleil. Et tant disque les notes frapper raisonnées d'une main Beethoven désérra sa cravate laissant voir de fine cicatrice le long de son cou, juste quelque instant puis il acheva son morceau, netement et simplement. il se leva et fit disparaitre le piano

"Excuser moi, j'ai cru remarquer quelque fausses notes..."

Beethoven respiré lentement, tout en lui semblait indiquer qu'il s'identifier a la musique, rien en lui, aucun son, ne ressortait, meme le bruit de ces pas sur la pierre ne s'entendait pas, cette homme était comme invisible; si il l'eut souhaiter, jamais personne dans toute sa vie n'aurait pu connaitre son existence.

Dougi se mit alors a applaudir chaleureusement de ses lordes mains puissantes.

-Sebastien, ta musique est douce et je serais en effet honnoré que tu veuilles bien jouer de ton instrument lors des services du restaurant de la taverne. Pour ce qui est du bar vois avec Paolas, il en est responsable mais dis lui que tu viens de ma part.

Tout le monde applaudissait maintenant mais un détail n'avait pas échapper au roi d'Arcan, un cicatrice.....

Le Téleri appela alors mentalement son maitre :

- Mélanos, rejoinds nous, je crois que tes larmes seraient utiles ....

"Je vous remerci..."

Beethoven s'inclina respectieusement ses long cheveux noir suivant le mouvement.

Lucius était debout sur les toit, il regarder la scene sans rien dire, il disparu discretement dans une ruelle proche, cette homme avait reveiler en lui des souvenir lointain.

"C'est impossible..."

Lucius n'arreté pas de se dire sa tandis qu'il s'enfoncer le plus possible dans la foule pour ne pas etre vu.

Beethoven se releva

"Excuser moi mais il commence a se faire tard, je vais me retiré et chercher un endroit ou dormir, merci de votre accueil..."

Beethoven s'enfonca dans la foule sous les regard du reste du groupe.